13 novembre 2007

Sections départementales

Pourquoi adhérer ?

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Pourquoi se syndiquer ?

Parce qu’à plusieurs, on pèse plus que tout seul.

Parce que mon syndicat organise l’action collective pour la défense du service public d’éducation et des personnels.

Parce que mon syndicat m’informe et me permet de réfléchir à l’évolution de mon métier.

Parce que mon syndicat me conseille pour ma carrière ( mutation, retraite,....) et m’aide à me défendre si nécessaire.

Parce que mon syndicat représente l’ensemble des collègues auprès du Rectorat et du Ministère et qu’il me rend compte de ses prises de position dans ce cadre.

Parce qu’il est contradictoire d’apprécier l’existence de syndicats indépendants et de ne pas leur donner les moyens d’exister en cotisant.

Pourquoi choisir le SNES ?

Parce que le SNES est le plus combatif !

Dans la bataille sur les retraites, contre la loi Fillon sur l’école et les remplacements « Robien », contre le démantellement des ZEP, avec les étudiants et les élèves contre le CPE, contre la précarité, pour la défense du statut ( nous avons obtenu l’abrogation du décret « de Robien » ré-écrivant le décret de 50 ) pour l’emploi, le pouvoir d’achat et la défense du service public... contre les suppressions de postes, le Snes mène les combats et poursuit la lutte.

Parce que le SNES est le plus efficace !

Présents et organisés dans la plupart des lycées et collèges, les militants du Snes sont capables d’articuler la lutte collective et la vigilance sur le terrain ; de nourrir la réflexion des collègues des analyses du snes et les analyses du snes de la réflexion des collègues.

Parce que le SNES est Démocratique...

Le SNES et la FSU pratiquent un syndicalisme de changement de société où le pluralisme est organisé. Le droit de tendance existe au sein du SNES et de la FSU et les courants de pensée peuvent s’exprimer dans la presse syndicale et les différentes instances. Les mandats de l’organisation syndicale sont le résultat de la synthèse de ce débat interne.

...et ouvert sur le monde !

Parce que tout projet d’école induit un projet de société, le SNES et la FSU prennent position dans les débats traversant la société. Ils ont exprimé une position critique sur le traité de constitution Européenne et réclament un référendum sur le « mini traité ». De même, la FSU et ses syndicats sont partie prenante du Réseau Education Sans Frontière qui combat pour la régularisation des parents d’élèves sans papiers.

La défense du service public n’est pas uniquement corporatiste : un monde guidé par le marché tel que le prônent les ultra-libéraux va à la catastrophe y compris écologique. L’ État se doit donc d’être capable de réguler et contrôler l’activité économique. Cela implique un service public efficace et au service de l’intérêt général.