La journée de grève de jeudi 24/01 a mobilisé près de 30% de collègues en grève et quelques centaines ont bravé la neige dans la manifestation grenobloise.
La mobilisation n’est pas encore suffisante pour faire entendre raison au gouvernement, même si nos analyses sur les réformes en cours sont largement partagées par les collègues.
Au delà de l’Éducation nationale, c’est bien la question de la répartition des richesses qui est au cœur des revendications du mouvement social.
Dans le second degré, plusieurs établissements du département mènent des mouvements dans la durée, d’autres construisent des actions pour les jours à venir.

C’est pourquoi la FSU 38 appelle les collègues à rejoindre la journée interprofessionnelle du 5 février et en particulier la manifestation grenobloise.