28 février 2023

Vie syndicale et stages

Comité social administratif académique du 28 février 2023

Le CSA du 28 février avait comme ordre du jour les lignes directrices de gestion en matière de mobilité (mutations intra). Ce fut également l’occasion pour la FSU de revenir sur les mobilisations et l’actualité.

La déclaration de la FSU


Bilan du Comité technique

La rectrice n’est pas revenu sur tous les sujets nationaux.

Sur la rentrée et les mobilisations, la rectrice a informé qu’elle recevrait les représentantes du collège Vercors et celles et ceux de Lucie Aubrac si la demande était faite.

L’IA-DASEN de l’Isère a reprécisé les modalités des dotations, mêlant baisses des moyens et baisses des effectifs.

Sur les UPE2A, la secrétaire générale est revenu sur la politique académique du CASNAV. Il s’agit de doter les départements en fonction de la circulaire nationale de 2012, en préservant quelques dispositifs à 18h pour les élèves qui n’ont jamais été scolarisées. Les dotations se font à moyen constant, alors que le nombre d’élèves augmentent en Haute-Savoie. C’est donc le département de l’Isère qui perd des moyens et de nombreux UPE2A des heures, avec des conséquences sur les services des collègues concernées.

Les échanges en marge du CSA ont confirmé le maintien des moyens AED pour les établissements qui en bénéficient.

Sur la technologie, la secrétaire générale a confirmé que des moyens pour plus de 50 postes sont économisés ! La situation des collègues est suivie. Quatre mesures de carte scolaire conduiraient à des affectations en lycée ou seraient résolues par des départs en retraite. Cinq autres MCS ont été proposées mais ne seront pas forcement effectives. Un échange avec les élues des personnels aura lieu sur ce point et sur les conséquences pour les contractuelles.

Concernant les AESH et le versement de l’indemnité REP, celle-ci sera effective sur la paie d’avril, tout comme l’IMP pour les lycées ex ZEP.

Sur les revendications de la FSU pour les LDG mobilité, nous avons obtenu l’abandon du projet de déstabilisation du barème avec une augmentation de la bonification agrégée dans le respect de l’article 60 de la loi de 1984. Les éléments fournis lors du bilan ne permettaient pas de conclure qu’une augmentation de la bonification améliorerait les affectations en lycée (quand on supprime des postes en lycée, il est difficile d’y affecter des personnels !).

Sur le rapprochement de conjoint, la FSU a obtenu que la distance soit de 30 km contre 40 km antérieurement.